Il a précisé que la vente du quotidien était interdite aussi bien sur le marché que par abonnement, alors qu’auparavant seuls les numéros sur le marché étaient interdits si le contenu ne plaisait pas aux autorités.
Le quotidien al-Akhbar a annoncé dans son édition d’hier avoir été visé par la même interdiction. « Il y a près d’un mois, l’administration d’al-Akhbar a reçu un appel dans lequel elle a été notifiée oralement que le quotidien était interdit d’entrée de manière définitive sur le territoire syrien », écrit Ibrahim al-Amine, rédacteur en chef du quotidien. « Le gouvernement syrien se comporte comme si al-Akhbar n’existait pas sur la carte de la presse arabe », a-t-il ajouté.
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