Le thème des banques pour la conservation du cordon ombilical dans la perspective de l'utilisation thérapeutique des cellules souches sera aussi abordé durant cette assemblée générale.
Sur Radio Vatican, Mgr Ignacio Carrasco de Paula a évoqué les conséquences de l'avortement comme « des conséquences qui ont un coût, un coût très important au niveau personnel et au niveau social ».
Durant cette assemblée générale, « notre attention se portera surtout sur le niveau personnel : quel est le risque pour la femme qui, pour plusieurs raisons – et parfois aussi en raison d'une forte pression sociale, d'une tendance en faveur de l'avortement dans certaines régions -, a recours à l'avortement ». « Très souvent la femme est contrainte » d'avorter, « elle est très souvent victime », a-t-il affirmé.
Le haut prélat a aussi estimé que ce traumatisme concernait aussi l'homme, la famille et ceux qui aident la femme à avorter. « Tout cela a certainement des conséquences au niveau collectif et en premier lieu pour la famille : l'unité familiale est ébranlée » par un avortement, a-t-il affirmé.
Marine Soreau
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