Une ordination sacerdotale aura lieu le même jour au Cameroun et une autre a déjà eu lieu fin mai en Nouvelle-Zélande.
Les Frères de Saint-Jean ordonnés cette année sont de 13 nationalités différentes (8 Français, 1 Anglais, 1 Irlandais, 1 Belge, 1 Allemand, 1 Roumain, 2 Camerounais, 1 Ivoirien, 1 Togolais, 1 Béninois, 2 Sénégalais, 1 Américain et 1 Mexicain).
Les nouveaux prêtres et diacres exerceront leurs ministères dans l’un des 63 prieurés des Frères de Saint-Jean répartis sur les 5 continents et dont une vingtaine est située en France. Ces religieux mènent une vie en petites communautés dont le cœur est l’oraison silencieuse, mais aussi une vie apostolique au service de l’Eglise : ils auront la charge de missions diverses, selon les intentions de leur fondateur, le père Marie-Dominique Philippe (1912-2006), qui désirait répondre aux besoins des Églises et de leurs pasteurs. Ils seront aumôniers d’établissements scolaires ou dans le monde étudiant, curés de paroisse, professeurs de séminaires, au service de jeunes qui veulent sortir de la drogue ou encore visiteurs de prison, etc.
L’an passé, en réponse à des demandes d’évêques, les frères ont fondé 3 nouveaux prieurés : à Bruxelles, à Christchurch (Nouvelle Zélande) et à Notre Dame du Chêne dans le diocèse du Mans.
La Communauté des frères de Saint-Jean compte plus de 540 Frères (dont 250 prêtres), issus de 35 pays.
Fondée en 1975, la Famille Saint Jean est composée, en plus de la communauté des Frères, d’une communauté de Sœurs contemplatives, d’une communauté de Sœurs apostoliques et de laïcs oblats séculiers. Elle s’inspire des enseignements de son fondateur le père Marie-Dominique Philippe, dominicain, décédé en 2006, professeur de philosophie et de théologie, prédicateur de retraites sur les écrits de l’Apôtre saint Jean, et auteur de nombreux ouvrages et articles.
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