a provoqué la mort de 14.755 personnes, selon les chiffres officiels, la destruction totale ou partielle de plus de 370.000 maisons et bâtiments, et un grave accident à l'usine nucléaire de Fukushima.
« S'il appartient au gouvernement japonais de procurer les biens essentiels à la survie des personnes évacuées dans les abris publics, Caritas Japon essaie de combler les lacunes de cette aide en distribuant des compléments de nourriture et des produits de première nécessité », souligne un communiqué du Secours catholique – Caritas France, précisant que « les besoins des populations touchées par la double catastrophe du 11 mars restent encore énormes ».
Elle assure aussi un service d'assistance psychologique pour aider les sinistrés à surmonter le traumatisme à long terme et prépare des projets de reconstruction.
Le réseau Caritas, rappelle l'organisation, s'est engagé à envoyer plus de 4 millions d'euros à sa filiale japonaise. A la date du 3 mai, plus de 700.000 euros avaient déjà été transférés.
Actuellement, plus de 125.000 personnes vivent encore dans des abris.
Caritas Japon a lancé une campagne de dons au niveau national et travaille en étroite collaboration avec les diocèses pour aider les sinistrés.
zenit