Ce logo a été présenté par l’archevêque de Rio, Mgr Orani João Tempesta, et, notamment, par les deux vice-présidents du Comité organisateur local (COL), les PP. Paulo Cezar Costa et Antonio Dias Duarte, en présence du président de la Conférence épiscopale brésilienne, le cardinal Raymundo Damasceno et du secrétaire de la Congrégation pour les évêques, Mgr Lorenzo Baldisseri, et des autorités civiles, dont le gouverneur de Rio, Sergio Cabral, et le préfet, Eduardo Paes.
Il s’agit d’un cœur tricolore – vert, jaune d’or, bleu -, le « cœur du disciple », où s’inscrivent quatre symboles. En haut à gauche, la croix – blanche – du pèlerin se détache sur le fond vert, de la forêt brésilienne : elle rappelle que le Brésil est appelé la Terre de la Sainte Croix. La courbe du ventricule évoque le Pain de sucre. Un Christ Rédempteur ouvre grand les bras et barre d’or le centre du Cœur. En bas, le bleu évoque les anses du littoral : « Toutes les merveilles de Rio », a fait observer l’archevêque de Rio.
« Nous sommes tous comme ce logo, a-t-il ajouté: il y a ici un cœur qui bat fort et qui dit : « Venez faire cette expérience de Dieu ». »
Au moment de cette présentation, le Christ Rédempteur du Pain de Sucre a été illuminé de vert et jaune d’or, les deux couleurs de la Nation.
Le vainqueur du concours est Gustavo Huguenin, 25 ans, originaire de Cantagalo, près de Rio, qui a exprimé sa « gratitude à Dieu pour la réalisation de ce rêve ». Il a confié : « Je suis extrêmement heureux d’être un jeune qui peut proclamer au monde entier la joie de faire partie de la sainte Eglise catholique ».
Le préfet Eduardo Paes a affirmé que Rio se mobilise pour réaliser la « plus grande JMJ de l’histoire », avant d’ajouter : « Ce sera une rencontre d’amour, de paix, de foi et des valeurs chrétiennes ».
Le gouverneur Cabral estime que l’histoire de la ville arrive à un tournant : « Cet événement va consolider cette ville pacifiée. Ce sera un événement d’événements, et nous allons faire tout ce qui est possible pour que ce soit la JMJ la plus extraordinaire ».
Maria Emilia Marega Pacheco
Traduction du portugais par Anita Bourdin
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