Dans un communiqué publié hier, Journalistes contre la violence a salué la mémoire des martyrs de la presse, jugeant nécessaire, « pour lui rester fidèle, de consolider les valeurs pour lesquelles ces derniers sont morts,
notamment la liberté de pensée, d’opinion et d’expression, et de suivre le chemin pour lequel ils ont aussi payé de leur vie ».
Pour l’ONG, un attachement à ces valeurs est nécessaire « afin de vaincre les forces du mal qui ont cherché, à travers leur assassinat, à modifier la face du Liban et à instituer un système sanguinaire et sous-développé, semblable à celui du Baas à Damas et de wilayet el-fakih en Iran ».
Pour l’ONG, un attachement à ces valeurs est nécessaire « afin de vaincre les forces du mal qui ont cherché, à travers leur assassinat, à modifier la face du Liban et à instituer un système sanguinaire et sous-développé, semblable à celui du Baas à Damas et de wilayet el-fakih en Iran ».
Journalistes contre la violence a ensuite fait état de craintes quant à un retour aux assassinats politiques, après l’attentat raté contre le chef des Forces libanaises, Samir Geagea. Ces craintes se justifient par « la tentative de l’axe du mal de compenser au niveau libanais, ce qu’il va perdre en Syrie, et ce en accentuant la domination du Hezbollah sur les décisions politiques libanaises », selon l’ONG, qui estime cependant qu’une « chute inéluctable du boucher de Damas ne peut pas être compensée parce qu’elle implique, au plan géopolitique, une transformation stratégique qui mettra le Hezbollah devant l’alternative suivante : soit le suicide, soit l’adhésion au projet de l’État, les deux entraînant la fin de son projet islamique et supralibanais.
Journalistes contre la violence a critiqué certaines forces qui, « comme le CPL, couvrent des crimes qui se poursuivent ainsi qu’une déformation de la vérité » et a invité les Libanais à les sanctionner aux prochaines législatives.
Journalistes contre la violence a critiqué certaines forces qui, « comme le CPL, couvrent des crimes qui se poursuivent ainsi qu’une déformation de la vérité » et a invité les Libanais à les sanctionner aux prochaines législatives.
L'orient le jour