Le gouvernement a ainsi affirmé qu’il possédait des informations faisant état de menaces à l’encontre d’un certain nombre de personnes, dont des journalistes, des responsables sécuritaires et des diplomates, parmi lesquels le chargé d’affaires français, André Parant.
Le Conseil des ministres a aussi affirmé que les services de sécurité l’ont notifié des préparatifs de l’opposition qui envisagerait de réactiver le sit-in du centre-ville à l’approche de l’échéance présidentielle et de se livrer à d’autres mesures d’escalade, comme le blocage des routes et l’occupation de places publiques.
L'Orient le jour- 28 Août 2007