C’est ainsi que Benoît XVI a voulu rappeler, ce dimanche au terme de l’Angélus, la figure de Mgr Francesco Paleari (1863-1939), membre de la Société des prêtres de saint Joseph Cottolengo, qui a été proclamé bienheureux ce samedi à Turin.
En présidant la cérémonie de béatification, le cardinal Angelo Amato, préfet de la Congrégation pour les causes des saints, a rappelé « qu’il se fit faible parmi les faibles, pour gagner les pauvres il se fit tout à tous, pour sauver les hommes à tout prix ». « Il fut extraordinaire dans l’ordinaire ».
« Il passa une grande partie de sa vie à la « Petite Maison » – rapporte le prélat, cité par L'Osservatore Romano – visitant les malades et approchant les plus rebutants, qu’il réconfortait par des paroles de consolation. Il préparait aussi les prisonniers à la fête de Pâques et conseillait les prêtres et les laïcs qui accouraient à lui ».
En s’adressant aux membres de la « Petite Maison » de la Divine Providence, le préfet a ajouté : « Vous êtes la caresse maternelle de Jésus sur les pauvres de ce monde auxquels vous offrez soutien, soin et dignité. Déjà sur cette terre, ils constituent vos trésors ».
« Continuez à reconnaître en eux le visage du Christ – a-t-il ensuite affirmé aux prêtres, aux religieuses et aux collaborateurs laïcs de Cottolengo – et à transfigurer leur calvaire terrestre de malades, de personnes abandonnées, marginalisées, en un Tabor de splendeur humaine et divine où est reconnue et honorée leur dignité de fils de Dieu ».
« Que leur faiblesse fasse grandir votre force, votre courage et votre foi dans la providence divine. Par votre assistance, donnez aux malades et aux personnes handicapées un cœur nouveau, empli de joie de vivre ».
« Vous n’êtes pas seulement des ouvriers de l’Evangile – a-t-il conclu – mais aussi des bienfaiteurs de cette portion d’humanité qui semble ne pas trouver sa place dans notre société plus attentive à la forme extérieure du corps qu’à la beauté intérieure de l’âme ».
ROME, Lundi 19 septembre 2011 (ZENIT.org) – « Il se dédia aux pauvres et aux malades dans la Petite Maison de la Divine Providence, mais aussi à l’enseignement, se distinguant par son caractère affable et sa patience. Rendons grâce à Dieu pour ce témoin lumineux de son amour ! ».
C’est ainsi que Benoît XVI a voulu rappeler, ce dimanche au terme de l’Angélus, la figure de Mgr Francesco Paleari (1863-1939), membre de la Société des prêtres de saint Joseph Cottolengo, qui a été proclamé bienheureux ce samedi à Turin.
En présidant la cérémonie de béatification, le cardinal Angelo Amato, préfet de la Congrégation pour les causes des saints, a rappelé « qu’il se fit faible parmi les faibles, pour gagner les pauvres il se fit tout à tous, pour sauver les hommes à tout prix ». « Il fut extraordinaire dans l’ordinaire ».
« Il passa une grande partie de sa vie à la « Petite Maison » – rapporte le prélat, cité par L'Osservatore Romano – visitant les malades et approchant les plus rebutants, qu’il réconfortait par des paroles de consolation. Il préparait aussi les prisonniers à la fête de Pâques et conseillait les prêtres et les laïcs qui accouraient à lui ».
En s’adressant aux membres de la « Petite Maison » de la Divine Providence, le préfet a ajouté : « Vous êtes la caresse maternelle de Jésus sur les pauvres de ce monde auxquels vous offrez soutien, soin et dignité. Déjà sur cette terre, ils constituent vos trésors ».
« Continuez à reconnaître en eux le visage du Christ – a-t-il ensuite affirmé aux prêtres, aux religieuses et aux collaborateurs laïcs de Cottolengo – et à transfigurer leur calvaire terrestre de malades, de personnes abandonnées, marginalisées, en un Tabor de splendeur humaine et divine où est reconnue et honorée leur dignité de fils de Dieu ».
« Que leur faiblesse fasse grandir votre force, votre courage et votre foi dans la providence divine. Par votre assistance, donnez aux malades et aux personnes handicapées un cœur nouveau, empli de joie de vivre ».
« Vous n’êtes pas seulement des ouvriers de l’Evangile – a-t-il conclu – mais aussi des bienfaiteurs de cette portion d’humanité qui semble ne pas trouver sa place dans notre société plus attentive à la forme extérieure du corps qu’à la beauté intérieure de l’âme ».