Le PNL a organisé une cérémonie officielle en hommage à l’ancien patriarche maronite, Mgr Nasrallah Boutros Sfeir. Ont pris part à l’événement, outre le député Dory Chamoun, plusieurs personnalités
du monde parlementaire et politique, ainsi qu’un représentant du commandant en chef de l’armée, le général Jean Kahwagi.
Prenant la parole, le membre du PNL, Ziad Khalifé, a qualifié le patriarche de « personnalité d’une force de caractère rare », soulignant qu’il est « l’artisan de la seconde indépendance ». Et de rappeler au passage que le printemps des révolutions arabes est issu de la révolution du Cèdre.
Prenant la parole, le membre du PNL, Ziad Khalifé, a qualifié le patriarche de « personnalité d’une force de caractère rare », soulignant qu’il est « l’artisan de la seconde indépendance ». Et de rappeler au passage que le printemps des révolutions arabes est issu de la révolution du Cèdre.
Prenant la parole à son tour, l’ancien député Misbah Ahdab a affirmé que le patriarche Sfeir « est un homme qui se préoccupe des problèmes de la nation et de ses souffrances ». « C’est une personnalité calme et sage, qui se contente de peu de mots pour apporter des réponses à un millier de questions », a-t-il dit, avant de rappeler que le patriarche a ouvert à tout le monde les portes de Bkerké.
Par ailleurs, dans un entretien accordé à La Voix du Liban, le chef du Parti national libéral, Dory Chamoun, a qualifié avec ironie le gouvernement de « chef-d’œuvre ». Le député s’est demandé s’il était « permis de suspendre les rouages de l’État », en allusion au refus exprimé jusque-là par le ministre du Travail, Charbel Nahas, de signer le décret sur les indemnités de transport. M. Chamoun a indiqué que « jamais auparavant un ministre n’a bloqué une décision prise en Conseil des ministres ».
Le député a relevé que la table de dialogue « n’est pas une institution constitutionnelle qui a ses règles propres », soulignant que la question des armes du Hezbollah a été tranchée lors de la première table de dialogue. « Nous voulons qu’une solution soit trouvée à la question des armes par le biais de la table de dialogue, mais eux (les membres du Hezbollah) ne veulent pas que ce dossier soit examiné », a-t-il dit.
Et de poursuivre : « Nous n’avons aucun problème à traiter avec les alliés de la Syrie, à condition qu’ils mettent les armes de côté. »
M. Chamoun a insisté sur le fait que le problème n’est pas avec la communauté chiite, soulignant que le président du Parlement, Nabih Berry, effectue maintes médiations mais qu’il ne l’a jamais fait au sujet des armes. « Tant que le langage du doigt levé est toujours de rigueur, nous ne parviendrons jamais à un résultat. Jusque-là, le Hezbollah estime que les forces du 14 Mars ne détiennent pas les données nécessaires qui l’habilitent à une prise de décision », a-t-il relevé. Selon lui, tant que l’équation confessionnelle perdure au niveau du pouvoir, le président de la République continuera de représenter les chrétiens.
Commentant la situation de ces derniers, M. Chamoun a expliqué qu’ils ont quitté le pays à cause des exactions syriennes, soulignant que certains d’entre eux sont retournés lorsque l’armée syrienne s’est retirée du pays.
Évoquant la crise en Syrie, il a affirmé que les forces du 14 Mars souhaitent que la Syrie puisse se libérer et respecter l’homme.
« En cas de chute du régime syrien, nous n’avons pas de stratégie. Nous souhaitons que le peuple syrien puisse gouverner son pays comme il l’entend et qu’il respecte les lois internationales dans ses rapports avec les États tiers », a-t-il dit, rappelant qu’à ce jour, la Syrie n’a pas délimité ses frontières avec le Liban.
Par ailleurs, dans un entretien accordé à La Voix du Liban, le chef du Parti national libéral, Dory Chamoun, a qualifié avec ironie le gouvernement de « chef-d’œuvre ». Le député s’est demandé s’il était « permis de suspendre les rouages de l’État », en allusion au refus exprimé jusque-là par le ministre du Travail, Charbel Nahas, de signer le décret sur les indemnités de transport. M. Chamoun a indiqué que « jamais auparavant un ministre n’a bloqué une décision prise en Conseil des ministres ».
Le député a relevé que la table de dialogue « n’est pas une institution constitutionnelle qui a ses règles propres », soulignant que la question des armes du Hezbollah a été tranchée lors de la première table de dialogue. « Nous voulons qu’une solution soit trouvée à la question des armes par le biais de la table de dialogue, mais eux (les membres du Hezbollah) ne veulent pas que ce dossier soit examiné », a-t-il dit.
Et de poursuivre : « Nous n’avons aucun problème à traiter avec les alliés de la Syrie, à condition qu’ils mettent les armes de côté. »
M. Chamoun a insisté sur le fait que le problème n’est pas avec la communauté chiite, soulignant que le président du Parlement, Nabih Berry, effectue maintes médiations mais qu’il ne l’a jamais fait au sujet des armes. « Tant que le langage du doigt levé est toujours de rigueur, nous ne parviendrons jamais à un résultat. Jusque-là, le Hezbollah estime que les forces du 14 Mars ne détiennent pas les données nécessaires qui l’habilitent à une prise de décision », a-t-il relevé. Selon lui, tant que l’équation confessionnelle perdure au niveau du pouvoir, le président de la République continuera de représenter les chrétiens.
Commentant la situation de ces derniers, M. Chamoun a expliqué qu’ils ont quitté le pays à cause des exactions syriennes, soulignant que certains d’entre eux sont retournés lorsque l’armée syrienne s’est retirée du pays.
Évoquant la crise en Syrie, il a affirmé que les forces du 14 Mars souhaitent que la Syrie puisse se libérer et respecter l’homme.
« En cas de chute du régime syrien, nous n’avons pas de stratégie. Nous souhaitons que le peuple syrien puisse gouverner son pays comme il l’entend et qu’il respecte les lois internationales dans ses rapports avec les États tiers », a-t-il dit, rappelant qu’à ce jour, la Syrie n’a pas délimité ses frontières avec le Liban.
L'orient le jour