arrivera à promouvoir une ‘vraie' compréhension face aux réalités que vit cette terre si chère aux religions abrahamiques.
« Tant que les parties ne se mettront pas objectivement dans la peau de tous les peuples, la paix sera impossible », a déclaré le président de la PTWF, M. Gary Krupp.
Citant le cas des tensions israélo-palestiniennes, Gary Krupp a estimé qu'il fallait « reconnaître la souffrance du peuple palestinien », notamment celle des réfugiés qui vivent dans des camps, y compris dans les pays arabes, et dont les conditions méritent une meilleure attention ; mais également celle des israéliens qui « souffrent des représailles terroristes contre leur population civile ».
Le directeur de la PTWF, John Drexel IV, a déploré pour sa part le « parti pris » des médias internationaux qui semblent ne condamner que les représailles israéliennes en appliquant des standards autres que pour tout autre pays de cette terre, déformant systématiquement la réalité des faits et ne faisant voir que les côtés négatifs.
Le directeur de la PTWF a fait état de milliers de cas d'interaction positive entre israéliens et palestiniens qui ne sont rapportés que trop rarement.
« Si l'on veut vraiment trouver une solution de paix, toutes les parties doivent examiner les conditions réelles », a insisté quant à lui Elliot Hershberg, le président du Conseil administratif de la PTWF, rappelant que trois traités de paix entre israéliens et palestiniens ont été brisés.
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