Les 400 employés de la PAC ont tenu, hier, une conférence de presse pour appeler le propriétaire de l'entreprise, l'émir al-Walid ben Talal, qui avait promis de payer les indemnités des salariés, d'honorer ses engagements.
C'est notre consœur, Rima Assaf, journaliste à la LBCI, qui a donné lecture du communiqué des employés de la PAC, licenciés depuis dix-neuf mois et n'ayant toujours pas perçu leurs indemnités.
« Si nous nous sommes tus au cours des mois passés, c'est pour donner du temps à la justice. Mais nous nous sommes malheureusement rendu compte que l'émir al-Walid ben Talal utilise le temps pour que notre cause soit oubliée et pour que nos indemnités ne soient pas versées », a indiqué Mme Assaf.
« Nous lisons dans les journaux que la Fondation al-Walid ben Talal aide des personnes dans le besoin dans huit pays du monde, alors que l'émir n'a pas encore payé nos indemnités, notre dû. Nous ne demandons pas une aumône, nous voulons simplement que justice soit faite », a-t-elle souligné.
« Les employés de la PAC prendront des mesures d'escalade si l'émir ben Talal continue à ajourner le paiement de leurs indemnités, surtout que l'argent consacré à cette affaire existe dans des banques des îles Caïmans », relèvent les salariés licenciés dans leur communiqué.
« Si nous nous sommes tus au cours des mois passés, c'est pour donner du temps à la justice. Mais nous nous sommes malheureusement rendu compte que l'émir al-Walid ben Talal utilise le temps pour que notre cause soit oubliée et pour que nos indemnités ne soient pas versées », a indiqué Mme Assaf.
« Nous lisons dans les journaux que la Fondation al-Walid ben Talal aide des personnes dans le besoin dans huit pays du monde, alors que l'émir n'a pas encore payé nos indemnités, notre dû. Nous ne demandons pas une aumône, nous voulons simplement que justice soit faite », a-t-elle souligné.
« Les employés de la PAC prendront des mesures d'escalade si l'émir ben Talal continue à ajourner le paiement de leurs indemnités, surtout que l'argent consacré à cette affaire existe dans des banques des îles Caïmans », relèvent les salariés licenciés dans leur communiqué.
L'orient le jour