الاتحاد الكاثوليكي العالمي للصحافة- لبنان اوسيب – لبنان
Plusieurs responsables politiques et religieux ont condamné hier l’acte de vandalisme qui a visé mercredi les bureaux de l’archevêché grec-orthodoxe de Beyrouth.
L’ancien Premier ministre, Saad Hariri, a contacté le métropolite de Beyrouth, Élias Audi, stigmatisant ce qui s’est passé et exprimant sa solidarité avec le prélat orthodoxe.
Le ministre de la Justice, Chakib Cortbaoui, a exprimé pour sa part ses regrets face à l’agression qui a visé les locaux de l’archevêché et assuré que la justice déploiera tous les efforts possibles afin de mettre la main sur les auteurs du crime.
Le vice-président du Parlement, Farid Makari, a estimé de son côté que « ce qui s’est passé à l’archevêché est plus qu’une opération de pillage ». M. Makkari a indiqué que « s’ils ambitionnaient le vol, les criminels se sont trompés d’adresse puisque la richesse de l’archevêché n’est point dans ses possessions, mais dans ses valeurs et prises de position ».
Le député du courant du Futur, Riad Rahhal, a vivement dénoncé l’incident, estimant que le « fait de s’en prendre aux valeurs morales est un crime commis à l’encontre des croyances ». Le député a exhorté les forces de l’ordre à faire en sorte de localiser au plus tôt les malfaiteurs et de les sanctionner.
Le membre du bloc du Développement et de la Libération, Anouar Khalil, a également dénoncé l’ « agression » qui, a-t-il dit, s’en prend aux positions unificatrices exprimées par l’ensemble des leaders de la communauté orthodoxe et illustrées par les déclarations de Mgr Audi.
Selon lui, les forces de l’ordre devraient plancher en priorité sur cette affaire, « qui entraîne des risques sécuritaires monstres et constitue l’indicateur d’une discorde communautaire douteuse ».
À son tour, le chef des Forces libanaises, Samir Geagea, qui s’est rendu chez Mgr Audi, s’est informé des détails de ce qui s’est passé. M. Geagea, qui s’est félicité du fait que l’archevêque et les prêtres s’en sont sortis sains et saufs, a déploré l’incident.
Le cheikh Akl druze, Naïm Hassan, et le vice-président du Conseil supérieur chiite, cheikh Abdel Amir Kabalan, ainsi que la « Rencontre orthodoxe » ont également condamné le crime dans des termes similaires.
Le vice-président du Parlement, Farid Makari, a estimé de son côté que « ce qui s’est passé à l’archevêché est plus qu’une opération de pillage ». M. Makkari a indiqué que « s’ils ambitionnaient le vol, les criminels se sont trompés d’adresse puisque la richesse de l’archevêché n’est point dans ses possessions, mais dans ses valeurs et prises de position ».
Le député du courant du Futur, Riad Rahhal, a vivement dénoncé l’incident, estimant que le « fait de s’en prendre aux valeurs morales est un crime commis à l’encontre des croyances ». Le député a exhorté les forces de l’ordre à faire en sorte de localiser au plus tôt les malfaiteurs et de les sanctionner.
Le membre du bloc du Développement et de la Libération, Anouar Khalil, a également dénoncé l’ « agression » qui, a-t-il dit, s’en prend aux positions unificatrices exprimées par l’ensemble des leaders de la communauté orthodoxe et illustrées par les déclarations de Mgr Audi.
Selon lui, les forces de l’ordre devraient plancher en priorité sur cette affaire, « qui entraîne des risques sécuritaires monstres et constitue l’indicateur d’une discorde communautaire douteuse ».
À son tour, le chef des Forces libanaises, Samir Geagea, qui s’est rendu chez Mgr Audi, s’est informé des détails de ce qui s’est passé. M. Geagea, qui s’est félicité du fait que l’archevêque et les prêtres s’en sont sortis sains et saufs, a déploré l’incident.
Le cheikh Akl druze, Naïm Hassan, et le vice-président du Conseil supérieur chiite, cheikh Abdel Amir Kabalan, ainsi que la « Rencontre orthodoxe » ont également condamné le crime dans des termes similaires.
L'orient le jour
