L’édition numéro 55 du Salon international du livre arabe de Beyrouth se déroule du 2 au 15 décembre au BIEL, sous le patronage du président Nagib Mikati.
C’est au siège du syndicat de la presse, à Raouché, que s’est tenue hier une conférence de presse réunissant les acteurs de cette manifestation et annonçant son programme.
Mohammad Baalbaki, président du syndicat de la presse, a rendu un hommage appuyé au Club culturel arabe et au syndicat de l’Union des éditeurs au Liban, pour leur résolution à organiser cet événement depuis plus d’un demi-siècle, contre vents et marées.
Mohammad Baalbaki, président du syndicat de la presse, a rendu un hommage appuyé au Club culturel arabe et au syndicat de l’Union des éditeurs au Liban, pour leur résolution à organiser cet événement depuis plus d’un demi-siècle, contre vents et marées.
Fadi Tamim, président du Club culturel arabe, a dédié cette édition au printemps arabe.
« Au milieu des révolutions qui balaient le monde arabe, portant l’étendard de la liberté et de la démocratie, cette édition se veut comme une plateforme où les intellectuels de la région pourront réfléchir aux changements positifs à venir », a-t-il déclaré.
« Les éditeurs misent sur ce rendez-vous annuel pour animer un peu le marché stagnant dans ce secteur, a ajouté Tamim. Le nombre accru de participants témoigne de cet intérêt grandissant. »
Pour sa 55e édition, le Salon compte 180 éditeurs libanais et cinquante-trois éditeurs arabes (20 de plus que l’édition précédente). Sept pays arabes y sont représentés officiellement, à savoir : l’Arabie saoudite, le Koweït, les Émirats arabes unis, le sultanat d’Oman, l’Égypte, l’Irak et la Palestine. Par ailleurs, 23 institutions publiques et organismes gouvernementaux, et cinq universités privées du Liban y sont représentés. On note une participation inédite d’institutions irakiennes, des émirats, de l’Arabie saoudite, d’Égypte, et cela à titre personnel et non à travers des tiers.
« La mission du Salon ne se limite pas à sa fonction de marché du livre, a encore précisé Tamim. Les nombreuses activités qui sont organisées en parallèle en font un rendez-vous culturel par excellence, auquel participent un grand nombre de penseurs, d’écrivains et de poètes de différentes appartenances. »
Le président du CCA a signalé ensuite que cette manifestation consacre ses matinées aux activités scolaires et estudiantines, et accueille une exposition d’art contemporain, à laquelle participent une cinquantaine d’artistes.
Samira Hussein Assi, présidente du syndicat de l’Union des éditeurs au Liban, a indiqué dans son mot que cette manifestation annuelle est l’occasion de rappeler les besoins du pays en matière de culture et notamment l’institution d’un livre d’histoire unifié.
Le programme des conférences, tables rondes et signatures est consultable sur le site du Club culturel arabe, à l’adresse : www.arabculturalclub.com
« Au milieu des révolutions qui balaient le monde arabe, portant l’étendard de la liberté et de la démocratie, cette édition se veut comme une plateforme où les intellectuels de la région pourront réfléchir aux changements positifs à venir », a-t-il déclaré.
« Les éditeurs misent sur ce rendez-vous annuel pour animer un peu le marché stagnant dans ce secteur, a ajouté Tamim. Le nombre accru de participants témoigne de cet intérêt grandissant. »
Pour sa 55e édition, le Salon compte 180 éditeurs libanais et cinquante-trois éditeurs arabes (20 de plus que l’édition précédente). Sept pays arabes y sont représentés officiellement, à savoir : l’Arabie saoudite, le Koweït, les Émirats arabes unis, le sultanat d’Oman, l’Égypte, l’Irak et la Palestine. Par ailleurs, 23 institutions publiques et organismes gouvernementaux, et cinq universités privées du Liban y sont représentés. On note une participation inédite d’institutions irakiennes, des émirats, de l’Arabie saoudite, d’Égypte, et cela à titre personnel et non à travers des tiers.
« La mission du Salon ne se limite pas à sa fonction de marché du livre, a encore précisé Tamim. Les nombreuses activités qui sont organisées en parallèle en font un rendez-vous culturel par excellence, auquel participent un grand nombre de penseurs, d’écrivains et de poètes de différentes appartenances. »
Le président du CCA a signalé ensuite que cette manifestation consacre ses matinées aux activités scolaires et estudiantines, et accueille une exposition d’art contemporain, à laquelle participent une cinquantaine d’artistes.
Samira Hussein Assi, présidente du syndicat de l’Union des éditeurs au Liban, a indiqué dans son mot que cette manifestation annuelle est l’occasion de rappeler les besoins du pays en matière de culture et notamment l’institution d’un livre d’histoire unifié.
Le programme des conférences, tables rondes et signatures est consultable sur le site du Club culturel arabe, à l’adresse : www.arabculturalclub.com
L'orient le jour