Le Liban a enterré hier deux soldats et un journaliste tombés mardi lors des accrochages entre les armées libanaise et israélienne.
Le sergent Robert Achi a été enterré dans son village natal de Darb es-Sim à l'est de Saida. C'est à l'église Notre-Dame de l'Annonciation que la cérémonie religieuse a eu lieu en présence de représentants de plusieurs responsables. Son cercueil, enveloppé du drapeau libanais, a été porté à bout de bras jusqu'au cimetière du village.
Le sergent Abdallah Mohammad Toufayli a été enterré dans son village de Deir Zahrani à Saïda en présence de représentants du Premier ministre Saad Hariri, du ministre de la Défense Élias Murr et du commandant en chef de l'armée le général, Jean Kahwaji, ainsi que du député hezbollahi Mohammad Raad. Le corps du sergent Abdallah a été porté à bout de bras par ses frères d'armes et par les habitants du village.
Prenant la parole, Mohammad Raad a indiqué que les Israéliens ne parviendront pas à leur but tant que l'armée, le peuple et la Résistance sont unis.
À Kfeir, le correspondant d'al-Akhbar, Assaf Abou Rahal, a été enterré dans son village natal. Les funérailles ont notamment rassemblé le directeur général du ministère de l'Information Hassan Falha, représentant le ministre Tarek Mitri, les députés Kassem Hachem et Ali Fayad, le directeur général du PCL Khaled Hdadé, ainsi que des représentants du PSNS et du PSP. L'évêque grec-orthodoxe de Marjeyoun, Mgr Élias Kfouri, a mis l'accent sur les qualités du défunt.
Notre collègue Saïd Maalaoui a donné lecture du message de l'ordre des journalistes, soulignant qu'à chaque fois que la presse perd de cette façon un journaliste, elle gagne un martyr, notant que Assaf Abou Rahal a travaillé toute sa vie pour servir son pays, que ce soit en couvrant les évènements du Liban-Sud ou en luttant dans les rangs du PCL.
Par ailleurs, le journaliste d'al-Manar, Ali Cheaïb, blessé lors des accrochages de mardi, a subi hier une opération chirurgicale à l'hôpital du « martyr Ragheb Harb » à Toul. Il a reçu plusieurs appels téléphoniques, dont celui du ministre de l'Information, Tarek Mitri.
De l'autre côté de la frontière, les Israéliens ont enterré le lieutenant-colonel Dov Harari dans la ville côtière de Netanya.
L'orient le jour
Le sergent Abdallah Mohammad Toufayli a été enterré dans son village de Deir Zahrani à Saïda en présence de représentants du Premier ministre Saad Hariri, du ministre de la Défense Élias Murr et du commandant en chef de l'armée le général, Jean Kahwaji, ainsi que du député hezbollahi Mohammad Raad. Le corps du sergent Abdallah a été porté à bout de bras par ses frères d'armes et par les habitants du village.
Prenant la parole, Mohammad Raad a indiqué que les Israéliens ne parviendront pas à leur but tant que l'armée, le peuple et la Résistance sont unis.
À Kfeir, le correspondant d'al-Akhbar, Assaf Abou Rahal, a été enterré dans son village natal. Les funérailles ont notamment rassemblé le directeur général du ministère de l'Information Hassan Falha, représentant le ministre Tarek Mitri, les députés Kassem Hachem et Ali Fayad, le directeur général du PCL Khaled Hdadé, ainsi que des représentants du PSNS et du PSP. L'évêque grec-orthodoxe de Marjeyoun, Mgr Élias Kfouri, a mis l'accent sur les qualités du défunt.
Notre collègue Saïd Maalaoui a donné lecture du message de l'ordre des journalistes, soulignant qu'à chaque fois que la presse perd de cette façon un journaliste, elle gagne un martyr, notant que Assaf Abou Rahal a travaillé toute sa vie pour servir son pays, que ce soit en couvrant les évènements du Liban-Sud ou en luttant dans les rangs du PCL.
Par ailleurs, le journaliste d'al-Manar, Ali Cheaïb, blessé lors des accrochages de mardi, a subi hier une opération chirurgicale à l'hôpital du « martyr Ragheb Harb » à Toul. Il a reçu plusieurs appels téléphoniques, dont celui du ministre de l'Information, Tarek Mitri.
De l'autre côté de la frontière, les Israéliens ont enterré le lieutenant-colonel Dov Harari dans la ville côtière de Netanya.
L'orient le jour