et de l’Université Saint-Thomas de Miami, annonce Radio Vatican en français.
« Objectif : favoriser des partenariats entre secteurs public et privé pour lutter efficacement contre les nouvelles formes d’esclavage, dont sont victimes spécialement les femmes et les enfants : prostitution, enfants soldats, travaux forcés, esclavage à domicile, enfants contraints de mendier », explique Radio Vatican. Les participants se sont efforcés « de mesurer l’entité du phénomène, de repérer les lignes d’action, de sensibiliser la société à ce fléau, mais également de lutter contre la marginalisation et la pauvreté qui constituent un terreau propice à la traite ».
Les travaux, continue la même source, ont été inaugurés par le président du Conseil pontifical pour les Migrants, Mgr Vegliò et par l’ambassadeur des Etats-Unis près le Saint-Siège, Miguel Humberto Dìaz.
Des diplomates, des politiques, des professeurs universitaires, des religieux se sont succédé à la tribune. Parmi les participants : sœur Estrella Castalone, qui coordonne le réseau international contre la traite « Talitha Kum », un réseau créé par l’Union internationale des supérieures générales: « Pour guérir les victimes, les aider à surmonter le traumatisme des abus et des violences subis – physiques, mentaux, sexuels – les religieuses mettent à la disposition leurs hôpitaux, écoles et orphelinats. »
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