Le patriarche Raï, président sortant de la Commission épiscopale des communications sociales de l’Assemblée des patriarches et évêques catholiques au Liban (Apecl) a passé la main hier à son successeur,
l’archevêque maronite de Beyrouth, Mgr Paul Matar, récemment élu à cette position.
La cérémonie de passation des pouvoirs a eu lieu au siège patriarcal de Bkerké, en présence du directeur du Centre catholique d’information, le P. Abdo Bou Kasm, du P. Joseph Mouannès et de journalistes, dont Mlle Rebecca Abounader et M. Habib Chlouk.
La cérémonie de passation des pouvoirs a eu lieu au siège patriarcal de Bkerké, en présence du directeur du Centre catholique d’information, le P. Abdo Bou Kasm, du P. Joseph Mouannès et de journalistes, dont Mlle Rebecca Abounader et M. Habib Chlouk.
S’adressant à l’archevêque de Beyrouth, le patriarche Raï a assuré que ce dernier est « l’homme qu’il faut, à la place qu’il faut », et l’a chargé de la mission de « tisser un réseau de relations » avec tous les organes de la presse écrite et audiovisuelle catholiques.
« Notre société, a ajouté le chef de l’Église maronite, est sensible et réclame que la vérité soit dite telle quelle, sans euphémismes (…) car seule la vérité édifie et libère. Le rôle de l’Église est de dire la vérité sans travestissements ni déformations, sachant que cela n’a pas toujours été le cas et que la vérité a sciemment été fragmentée » par certains, au point que certains – dont je fais partie – en sont venus à désespérer des médias ».
Par ailleurs, le patriarche maronite a reçu hier les visites de M. Tammam Salam, des anciens ministres Wi’am Wahab et Ibrahim Chamseddine, ainsi que celle de la Rencontre orthodoxe conduite par M. Élie Ferzli, venu défendre son projet de loi électorale.
Le patriarche Raï a également reçu M. Michel Moawad et le grand chanteur populaire Wadih el-Safi, venu lui dédier l’une de ses dernières compositions.
« Notre société, a ajouté le chef de l’Église maronite, est sensible et réclame que la vérité soit dite telle quelle, sans euphémismes (…) car seule la vérité édifie et libère. Le rôle de l’Église est de dire la vérité sans travestissements ni déformations, sachant que cela n’a pas toujours été le cas et que la vérité a sciemment été fragmentée » par certains, au point que certains – dont je fais partie – en sont venus à désespérer des médias ».
Par ailleurs, le patriarche maronite a reçu hier les visites de M. Tammam Salam, des anciens ministres Wi’am Wahab et Ibrahim Chamseddine, ainsi que celle de la Rencontre orthodoxe conduite par M. Élie Ferzli, venu défendre son projet de loi électorale.
Le patriarche Raï a également reçu M. Michel Moawad et le grand chanteur populaire Wadih el-Safi, venu lui dédier l’une de ses dernières compositions.
L'orient le jour