Durant son homélie, le pape a mis en garde : « quand le chemin de la vie se heurte à des problèmes et à des obstacles qui semblent insurmontables, et il y en a tant ! A ce moment-là vient l’ennemi, vient le diable, si souvent déguisé en ange, et qui insidieusement nous dit sa parole ».
« Ne l’écoutez pas ! Suivons Jésus ! », « Ne vous laissez jamais prendre par le découragement ! », a-t-il exhorté, en insistant « s’il vous plaît ! ne vous laissez pas voler l’espérance ! Ne vous laissez pas voler l’espérance ! »
Cette espérance, a-t-il expliqué, c’est que « le Christ nous accompagne et nous met sur ses épaules : ici se trouve notre joie, l’espérance que nous devons apporter à notre monde ».
Et le pape a donné la réponse définitive au mal : la croix. « Sur la croix Jésus sent tout le poids du mal et avec la force de l’amour de Dieu le vainc, le défait dans sa résurrection. C’est le bien que Jésus fait à nous tous sur le trône de la Croix. »
C’est pourquoi, a-t-il poursuivi, « la croix du Christ embrassée avec amour ne conduit pas à la tristesse, mais à la joie, à la joie d’être sauvés et de faire un tout petit peu ce qu’il a fait le jour de sa mort ».
En ce sens, le pape a invité à la joie : « Ne soyez jamais des hommes et des femmes tristes: un chrétien ne peut jamais l’être !… Notre joie n’est pas une joie qui naît du fait de posséder de nombreuses choses, mais elle naît du fait d’avoir rencontré une Personne : Jésus, qui est parmi nous ; elle naît du fait de savoir qu’avec lui nous ne sommes jamais seuls, même dans les moments difficiles ».
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