Le martyrologe romain fait aujourd'hui mémoire d'un saint dont le nom signifie "heureux", saint Félix, en Afrique du Nord, évêque et martyr (+303).
Lors de la très violente persécution anti-chrétienne menée dans tout l’empire romain par l’empereur Dioclétien, certains décrets ordonnaient la destruction des Saintes Ecritures et des livres liturgiques.
Félix était alors évêque de Tubzak – aujourd’hui Zoustina -, près de Carthage (Tunisie). Il refusa catégoriquement de remettre ces livres aux autorités. Pour cela, il fut traîné devant le tribunal. Là, il répondit au curateur Magnilianus, qui ordonnait de jeter au feu les livres saints, qu’il préférait brûler lui-même plutôt que les divines Ecritures. Le proconsul Anulius le fit passer par le glaive, le 15 juillet 303. Selon le récit de sa “Passio”, il était âgé de cinquate-six ans. Il fut inhumé dans la basilique Saint-Faust de Carthage.
Son culte se développa non seulement en Afrique du Nord mais aussi, de façon ancienne et bien documentée, en Italie méridionale, en particulier à Venosa, dans la région des Pouilles.
Lors de la très violente persécution anti-chrétienne menée dans tout l’empire romain par l’empereur Dioclétien, certains décrets ordonnaient la destruction des Saintes Ecritures et des livres liturgiques.
Félix était alors évêque de Tubzak – aujourd’hui Zoustina -, près de Carthage (Tunisie). Il refusa catégoriquement de remettre ces livres aux autorités. Pour cela, il fut traîné devant le tribunal. Là, il répondit au curateur Magnilianus, qui ordonnait de jeter au feu les livres saints, qu’il préférait brûler lui-même plutôt que les divines Ecritures. Le proconsul Anulius le fit passer par le glaive, le 15 juillet 303. Selon le récit de sa “Passio”, il était âgé de cinquate-six ans. Il fut inhumé dans la basilique Saint-Faust de Carthage.
Son culte se développa non seulement en Afrique du Nord mais aussi, de façon ancienne et bien documentée, en Italie méridionale, en particulier à Venosa, dans la région des Pouilles.
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