La conférence des évêques maronites des deux Amériques s’est ouverte hier à Saint Louis (Missouri), sous la présidence du patriarche Raï et en présence des évêques Bob Chahine, hôte de la conférence, Grégory Manso (diocèse de Brooklyn),
ainsi que de NN.SS. Youssef el-Khoury (Canada), Edgar Madi (Brésil) et Charbel Merhi (Argentine).
Le patriarche est par ailleurs accompagné de ses deux vicaires, Boulos Sayah, vicaire général, et Hannan Alwan, vicaire général pour les affaires juridiques et tribunaux religieux.
Il y a aussi, dans le bel édifice du diocèse de Notre-Dame du Liban, délogé de Los Angeles à Saint Louis pour des raisons de proximité pastorale, les supérieurs généraux des ordres religieux maronites : Élie Madi, pour les missionnaires libanais, Boulos Tarabay, pour les mariamites, Daoud Reaydi, pour les antonins, et Nehmetallah Hachem, représentant du père Tannous Nehmé.
À l’ordre du jour de la visite aux États-Unis, de nombreuses questions pastorales à l’échelle d’un continent et d’une diaspora qui a énormément augmenté.
Parmi les questions qui se posent figurent celles des vocations et de la présence de prêtres maronites dans le monde de l’émigration. C’est tout l’avenir des maronites dans le monde qui se pose là, ainsi que les relations des Églises orientales entre elles, à la lumière des bouleversements qui marquent la région, des questions liturgiques, d’utilisation des langues, de la musique sacrée et de la catéchèse des jeunes et des adultes, etc.
En bref, outre le devoir de visite aux diocèses qui s’impose au patriarche, tous les cinq ans, il y a la question du suivi à donner aux résolutions du synode des évêques catholiques du Moyen-Orient, qui s’est tenu en octobre dernier au Vatican.
La séance matinale des travaux de l’assemblée, tenue à huis clos, a été suivie d’une messe de rite maronite dite en arabe et en anglais devant des fidèles venus y assister dans l’église de Saint-Romanos (Raymond). Saint Romanos est le saint patron de Hadchit, et les Américains originaires de ce village de Hadeth el-Joubbé sont particulièrement nombreux ici.
En marge de ces travaux pastoraux, dans certains milieux maronites on continue d’épiloguer sur la rencontre manquée entre le patriarche et le président Obama, à Washington, que l’on attribue au secrétariat d’État, et non de la Maison-Blanche. En tout état de cause, le patriarche pourrait rencontrer à Saint Louis le ministre américain des Transports, en attendant la rencontre qu’il aura, à New York, avec le secrétaire général de l’ONU.
Pour ne pas déroger à ses habitudes, le patriarche Raï organise vendredi une séance de catéchèse pour adulte, dans la tradition de la série qu’il donnait avant son élection et que transmettait tous les mardis Télé-Lumière.
La conférence des évêques maronites des deux Amériques s’achèvera vendredi. Samedi, le patriarche se rendra à Peoria (Illinois).
Le patriarche est par ailleurs accompagné de ses deux vicaires, Boulos Sayah, vicaire général, et Hannan Alwan, vicaire général pour les affaires juridiques et tribunaux religieux.
Il y a aussi, dans le bel édifice du diocèse de Notre-Dame du Liban, délogé de Los Angeles à Saint Louis pour des raisons de proximité pastorale, les supérieurs généraux des ordres religieux maronites : Élie Madi, pour les missionnaires libanais, Boulos Tarabay, pour les mariamites, Daoud Reaydi, pour les antonins, et Nehmetallah Hachem, représentant du père Tannous Nehmé.
À l’ordre du jour de la visite aux États-Unis, de nombreuses questions pastorales à l’échelle d’un continent et d’une diaspora qui a énormément augmenté.
Parmi les questions qui se posent figurent celles des vocations et de la présence de prêtres maronites dans le monde de l’émigration. C’est tout l’avenir des maronites dans le monde qui se pose là, ainsi que les relations des Églises orientales entre elles, à la lumière des bouleversements qui marquent la région, des questions liturgiques, d’utilisation des langues, de la musique sacrée et de la catéchèse des jeunes et des adultes, etc.
En bref, outre le devoir de visite aux diocèses qui s’impose au patriarche, tous les cinq ans, il y a la question du suivi à donner aux résolutions du synode des évêques catholiques du Moyen-Orient, qui s’est tenu en octobre dernier au Vatican.
La séance matinale des travaux de l’assemblée, tenue à huis clos, a été suivie d’une messe de rite maronite dite en arabe et en anglais devant des fidèles venus y assister dans l’église de Saint-Romanos (Raymond). Saint Romanos est le saint patron de Hadchit, et les Américains originaires de ce village de Hadeth el-Joubbé sont particulièrement nombreux ici.
En marge de ces travaux pastoraux, dans certains milieux maronites on continue d’épiloguer sur la rencontre manquée entre le patriarche et le président Obama, à Washington, que l’on attribue au secrétariat d’État, et non de la Maison-Blanche. En tout état de cause, le patriarche pourrait rencontrer à Saint Louis le ministre américain des Transports, en attendant la rencontre qu’il aura, à New York, avec le secrétaire général de l’ONU.
Pour ne pas déroger à ses habitudes, le patriarche Raï organise vendredi une séance de catéchèse pour adulte, dans la tradition de la série qu’il donnait avant son élection et que transmettait tous les mardis Télé-Lumière.
La conférence des évêques maronites des deux Amériques s’achèvera vendredi. Samedi, le patriarche se rendra à Peoria (Illinois).
L'orient le jour