Dans ce documentaire, le jeune metteur en scène argentin Juan Martín Ezratty présente en 27 minutes une mosaïque de témoignage de 22 personnes, utilisant comme « leimotiv » le récit d’un mère finlandaise, non catholique, qui raconte la manière dont son fils a connu l’Opus Dei.
Le documentaire met en évidence la spiritualité caractéristique de l’Opus Dei, fondé en 1928 en Espagne et présente dans 68 pays, qui prêche la sanctification personnelle dans la vie de tous les jours à travers le travail et les activités quotidiennes.
Le documentaire présente des témoignages variés, allant du coiffeur à l’étudiant romain qui pensait changer le monde par la violence et l’affrontement avec les forces de l’ordre et qui, en écoutant le message du saint espagnol, a compris qu’il existait une manière plus efficace de le faire.
« Dans les différents pays et selon les cultures – a commenté le metteur en scène – je me suis aperçu que le message de saint Josemaría arrivait très bien et plusieurs personnes m’ont dit qu’il leur semblait presque que ce message leur était personnellement adressé. Parmi elles, certaines personnes avaient de forts préjugés vis-à-vis de l’Opus Dei ».
Le titre du film, a ensuite expliqué le metteur en scène, « a été inspiré par un jeune malade en Inde qui, durant son hospitalisation a compris que les infirmières le traitaient très bien, même sans exiger d’argent, et que la chose importante dans la vie était d’être disposés à aimer ».
« Les témoins s’inspirent du message du fondateur de l’Opus Dei pour comprendre les problèmes liés à leur travail quotidien, la famille, la maladie et les mille circonstances de la vie quotidienne ».
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