Processions et prières autour des églises catholiques à Beyrouth et en province. C’est dans une ambiance bon enfant que les communautés catholiques du Liban ont célébré hier la fête des Rameaux dans les différentes régions chrétiennes du pays.
Dans les églises, les messes ont été consacrées à l’intention du Liban et des processions ont été organisées auxquelles ont pris part des milliers d’enfants portant les traditionnelles bougies décorées avec des branches d’olivier et de palmier. Les homélies prononcées à cette occasion ont appelé à l’« unité », au « pardon » et à la « réconciliation ».
À Bkerké, le patriarche maronite Béchara Raï a présidé l’office divin dans la chapelle de la Résurrection. Dans son homélie, Mgr Raï a souligné l’importance de cette cérémonie, tout en affirmant que « c’est par amour que Jésus-Christ s’est sacrifié pour sauver l’humanité ». « La paix efface la peur des esprits des gens », a-t-il ajouté.
À Bkerké, le patriarche maronite Béchara Raï a présidé l’office divin dans la chapelle de la Résurrection. Dans son homélie, Mgr Raï a souligné l’importance de cette cérémonie, tout en affirmant que « c’est par amour que Jésus-Christ s’est sacrifié pour sauver l’humanité ». « La paix efface la peur des esprits des gens », a-t-il ajouté.
L’archevêque maronite de Beyrouth, Boulos Matar, a célébré la messe des Rameaux en la cathédrale Saint-Georges au centre-ville. « Au Liban et dans d’autres pays, le vent de la division, du communautarisme et du sectarisme souffle », a-t-il dit dans son sermon, invitant les fidèles « à s’aimer les uns les autres » et à être les « apôtres de la paix dans le monde ». Mgr Matar a appelé à une « vraie réconciliation entre tous les Libanais », non celle des « équilibres politiques » ni des « intérêts », mais une « réconciliation véritable des cœurs ». « Nous voulons que les gens s’acceptent les uns les autres et s’aiment quelle que soit la communauté à laquelle ils appartiennent, a encore insisté Mgr Matar. Nous voulons avoir tous un seul et même sort dans ce pays. »
À Tripoli, l’archevêque maronite, Georges Abou Jaoudé, a célébré l’office divin en l’église Saint-Maron. Dans son homélie, il a appelé les fidèles, principalement les enfants, à élever les prières et « demander au Christ d’être le roi de notre raison et de notre cœur, notamment la raison et le cœur de nos responsables » pour qu’ils « œuvrent dans l’intérêt du peuple » et « ramènent la stabilité au pays ».
L’archevêque melkite de Beyrouth et de Byblos, Mgr Cyrille Bustros, a présidé la messe des Rameaux en l’église Saint-Jean Chrysostome, rue de Damas, en présence de nombreuses personnalités politiques. « Lorsque nous regardons de près notre réalité sociale et politique, nous constatons que nous sommes loin de l’unité pour laquelle le Christ s’est sacrifié. Les conflits et les divisions marquent l’action des responsables en ce moment. Chacun suit ses propres intérêts et le peuple est celui qui paie le prix des conflits entre les gouverneurs et les dirigeants », a déclaré Mgr Bustros dans son homélie.
L’évêque maronite de Batroun, Mgr Mounir Khairallah, a pour sa part célébré la messe en l’église Saint-Charbel à Ebrine. Il a invité les fidèles à « se rapprocher du Christ », à « s’attacher aux valeurs chrétiennes et à notre terre bénie, comme à la préserver ».
À Nabatiyeh, l’évêque melkite de Saïda et de Deir el-Qamar, Mgr Élie Haddad, a célébré l’office divin en l’église Notre-Dame de l’Assomption. Dans son homélie, il a souligné la nécessité de « ne pas se laisser entraîner dans les querelles régionales ». « Toutes les religions doivent coopérer pour instaurer la paix et l’unité au Liban », a-t-il souligné.
Le dimanche des Rameaux a également été célébré par des messes présidées par l’évêque maronite de Baalbeck, de Deir el-Ahmar et de la Békaa-Nord, Mgr Semaan Atallah, en la cathédrale Saint-Georges à Deir el-Ahmar, et l’évêque grec-catholique de Baalbeck, Mgr Élias Rahal, en l’église Saintes-Barbe-et-Takla. Les homélies ont insisté sur la paix et l’amour.
À Tripoli, l’archevêque maronite, Georges Abou Jaoudé, a célébré l’office divin en l’église Saint-Maron. Dans son homélie, il a appelé les fidèles, principalement les enfants, à élever les prières et « demander au Christ d’être le roi de notre raison et de notre cœur, notamment la raison et le cœur de nos responsables » pour qu’ils « œuvrent dans l’intérêt du peuple » et « ramènent la stabilité au pays ».
L’archevêque melkite de Beyrouth et de Byblos, Mgr Cyrille Bustros, a présidé la messe des Rameaux en l’église Saint-Jean Chrysostome, rue de Damas, en présence de nombreuses personnalités politiques. « Lorsque nous regardons de près notre réalité sociale et politique, nous constatons que nous sommes loin de l’unité pour laquelle le Christ s’est sacrifié. Les conflits et les divisions marquent l’action des responsables en ce moment. Chacun suit ses propres intérêts et le peuple est celui qui paie le prix des conflits entre les gouverneurs et les dirigeants », a déclaré Mgr Bustros dans son homélie.
L’évêque maronite de Batroun, Mgr Mounir Khairallah, a pour sa part célébré la messe en l’église Saint-Charbel à Ebrine. Il a invité les fidèles à « se rapprocher du Christ », à « s’attacher aux valeurs chrétiennes et à notre terre bénie, comme à la préserver ».
À Nabatiyeh, l’évêque melkite de Saïda et de Deir el-Qamar, Mgr Élie Haddad, a célébré l’office divin en l’église Notre-Dame de l’Assomption. Dans son homélie, il a souligné la nécessité de « ne pas se laisser entraîner dans les querelles régionales ». « Toutes les religions doivent coopérer pour instaurer la paix et l’unité au Liban », a-t-il souligné.
Le dimanche des Rameaux a également été célébré par des messes présidées par l’évêque maronite de Baalbeck, de Deir el-Ahmar et de la Békaa-Nord, Mgr Semaan Atallah, en la cathédrale Saint-Georges à Deir el-Ahmar, et l’évêque grec-catholique de Baalbeck, Mgr Élias Rahal, en l’église Saintes-Barbe-et-Takla. Les homélies ont insisté sur la paix et l’amour.
L'orient le jour