الاتحاد الكاثوليكي العالمي للصحافة- لبنان اوسيب – لبنان
Mgr Dominique Rey, et concélébrée par Mgr Patrick Chauvet, vicaire général du diocèse de Paris et curé de la paroisse Saint-François Xavier (place du Président Mithouard, 75 007 – Métro St François Xavier).
Quatre ans après l'ouverture de la cause de béatification et de canonisation du professeur Jérôme Lejeune (juin 2007, cf. Zenit du 28 juin 2007) et 17 ans après son rappel à Dieu (3 avril 1994), cet anniversaire est l'occasion d'un « rassemblement spirituel pour tous ceux qui s'engagent aux côtés de l'Église pour promouvoir une véritable culture de Vie » et « c'est aussi un acte de foi et d'espérance de voir se lever une nouvelle génération de Serviteurs de la Vie ».
L'Association « Les Amis du professeur Jérôme Lejeune » souhaite que « le témoignage du serviteur de Dieu Jérôme Lejeune entraîne de nouvelles vocations de médecins, de chercheurs et de chrétiens prêts à répondre à l'invitation de Jean-Paul II et de Benoît XVI à annoncer l'Évangile de la Vie ‘avec courage et fidélité comme une bonne nouvelle pour les hommes de toute époque et de toute culture' ».
Rappelons aussi que les « Journées internationales Jérôme Lejeune » (JIJL) auront lieu cette année du 24 au 26 mars à Paris, à l'Institut Pasteur (28 rue du Docteur Roux – 75015 Paris).
Elles réuniront médecins, chercheurs et professionnels de la santé autour d'un thème « important et en pleine expansion » : « Déficience intellectuelle d'origine génétique : progrès vers des traitements ciblés ».
La présidente du comité scientifique, Madame le professeur Randi Hagerman, souligne que « ces trois journées de conférence permettront aux chercheurs et cliniciens d'échanger sur leurs connaissances et leurs idées et de stimuler des collaborations dans le domaine des thérapeutiques du futur ».
Une exposition de posters présentera les travaux récents sur ce thème.
A la fin de la conférence, des prix seront remis aux deux meilleurs posters, ceci afin de « souligner les étapes clefs réalisées dans le traitement des patients atteints de déficit intellectuel », précise Mme Hagerman.
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