À l’invitation du nouvel évêque de Jbeil, Mgr Michel Aoun, une réunion élargie de dignitaires religieux chrétiens et musulmans de Jbeil s’est tenue au presbytère de l’église Saint-Jean-Marc.
Le mufti chiite de Jbeil et du Kesrouan, cheikh Abdel Amir Chamseddine (frère du grand imam Mohammad Mehdi Chamseddine), l’imam de Jbeil, cheikh Ghassan Lakkis, l’évêque de Batroun, Mgr Mounir Khairallah, ainsi que le nouveau coordinateur des relations interreligieuses à Bkerké, P. Fadi Daou, ont assisté à cette réunion.
Celle-ci a permis au nouvel évêque de Jbeil de prendre contact avec les chefs religieux de son diocèse, et de réaffirmer quelques constantes nationales, au niveau local.
« L’entente nationale et la foi que le Liban est une patrie souveraine, libre et indépendante, patrie définitive pour tous ses fils chrétiens et musulmans, commande que des programmes scolaires communs soient élaborés, de manière à incarner la devise “communion et amour” prise par le patriarche Béchara Raï. C’est une devise que n’a cessé de clamer l’imam Moussa Sadre ainsi que feu cheikh Mohammad Mehdi Chamseddine, et d’autres », a notamment affirmé cheikh Abdel Amir Chamseddine.
« Les dignitaires présents se sont engagés à respecter les lieux de prière les uns des autres, à sauvegarder la réputation de convivialité que leur région s’est acquise durant la guerre, à valoriser la stabilité politique et sécuritaire de leur région et à rendre hommage au rôle joué par l’armée, à rejeter toute ingérence étrangère sous des dehors économiques et à déplorer les victimes de la violence en Syrie et à faire appel à la raison ». Ils ont dénoncé la judaïsation de Jérusalem et adhéré aux idéaux du sommet interreligieux qui vient de se tenir à Bkerké.
« L’entente nationale et la foi que le Liban est une patrie souveraine, libre et indépendante, patrie définitive pour tous ses fils chrétiens et musulmans, commande que des programmes scolaires communs soient élaborés, de manière à incarner la devise “communion et amour” prise par le patriarche Béchara Raï. C’est une devise que n’a cessé de clamer l’imam Moussa Sadre ainsi que feu cheikh Mohammad Mehdi Chamseddine, et d’autres », a notamment affirmé cheikh Abdel Amir Chamseddine.
« Les dignitaires présents se sont engagés à respecter les lieux de prière les uns des autres, à sauvegarder la réputation de convivialité que leur région s’est acquise durant la guerre, à valoriser la stabilité politique et sécuritaire de leur région et à rendre hommage au rôle joué par l’armée, à rejeter toute ingérence étrangère sous des dehors économiques et à déplorer les victimes de la violence en Syrie et à faire appel à la raison ». Ils ont dénoncé la judaïsation de Jérusalem et adhéré aux idéaux du sommet interreligieux qui vient de se tenir à Bkerké.
L'orient le jour