en particulier de sa présence sur le net et dans les nouveaux milieux de la communication.
Après un mot de bienvenue et une introduction aux travaux par Mgr Claudio Maria Celli, président du Conseil pontifical pour les communications sociales, le programme du congrès prévoit toute une série de discussions sur « les problématiques et l'avenir de la presse » en général, puis sur « l'état actuel de la presse catholique et ses perspectives futures ».
Mardi, ce sont des questions comme « Comment la presse catholique contribue-t-elle au débat public ? A la diaconie de la culture ? À la vie de l'Église ? » qui seront abordées sous le regard d'experts, théologiens, sociologues et journalistes, du monde de la communication, mais également « La presse catholique devrait-elle éviter des sujets déterminés ? Comment devrait-elle affronter les questions controversées ? Et doit-on donner voix au désaccord ? ».
Mais les congressistes verront aussi quelles sont « les opportunités offertes par les nouveaux media, et comment la presse catholique aide l'Église à être effectivement présente dans l'ère numérique ». Une table ronde sera proposée pour illustrer certains modes d'utilisation de ces nouveaux médias par des communicateurs catholiques: sites diocésains et paroissiaux, bulletins diocésains, services on-line.
Dans le sillage des précédents congrès mondiaux, consacrés respectivement aux Facultés des universités catholiques et aux radios catholiques, la méthodologie de ce troisième congrès vise un approfondissement des sujets à un triple niveau : tables rondes, ateliers, séances plénières pour le partage des réflexions élaborés dans les divers espaces.
L'objectif est de faire de ce congrès non seulement un lieu d'écoute, mais un forum d'analyses, d'évaluations et de propositions, de promouvoir la connaissance réciproque entre les journalistes de la presse écrite des divers pays et continents et de faciliter les synergies en vue de fructueuses formes de collaboration.
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