C’est ainsi que plusieurs institutions pour la défense des droits de l’homme ont assuré que ces arrestations représentent une violation des engagements internationaux pris par la Syrie en ce qui concerne les droits civils et politiques des citoyens, et précisément des articles 9, 14, 19, 21 et 22.
Le Wall Street Journal a évoqué les menaces lancées contre des manifestants syriens vivant à l’étranger souhaitant exprimer leur point de vue. « Leurs proches sont attaqués et eux-mêmes sont arrêtés lors de leur retour chez eux. Le journal souligne que, selon des informations précises, le régime syrien utilise ses ambassades, dont celle de Washington, pour rechercher les manifestants et les prendre en photo. Ces informations ont été démenties par l’ambassade de Syrie », conclut le communiqué.
Skeyes dénonce également la censure qui touche l’Internet, les films et les feuilletons, assurant que les utilisateurs des réseaux de communication et les réalisateurs ont le droit de s’exprimer librement, d’avoir accès aux informations et de les échanger.