« Le journaliste Omar Harkouss a indiqué dans un entretien à SKeyes que l’accès à la région de Wadi Khaled et le filmage dans cette zone ne sont permis que sur autorisation émanant de la direction de l’orientation de l’armée. »
« Les contraintes imposées aux journalistes ont augmenté de façon significative, notamment après l’augmentation du nombre de réfugiés syriens dans la région, comme si l’objectif était que les médias n’exposent pas l’énorme souffrance de ces réfugiés », a poursuivi M. Harkouss, cité par SKeyes.
« D’autre part, note SKeyes, un certain nombre de journalistes se sont plaints de contraintes qui leur ont été imposées dans la région de Bourj-Hammoud. Tous ceux qui portent une caméra sont susceptibles d’être poursuivis par des membres de la police municipale pour les empêcher de filmer sous prétexte qu’ils doivent obtenir un permis et une autorisation préalable de la municipalité de Bour-Hammoud. »