Le dix-huitième congrès des écoles catholiques a poursuivi hier ses travaux au Lycée Saint-Élie des sœurs antonines à Ghazir, sous le patronage du patriarche maronite Béchara Raï. Le thème de cette année était « la gestion de l’école catholique:
mission et professions ». À la séance inaugurale se sont exprimés le patriarche Raï, le président du comité épiscopal des écoles catholiques, Mgr Boulos Matar, et le secrétaire général des écoles catholiques, le père Marwan Tabet.
À l’issue du congrès, des recommandations ont été faites. Parmi les plus importantes, celle d’appeler à préserver les écoles privées gratuites et à les soutenir en les aidant à obtenir la totalité de leurs droits.
Les participants au congrès ont également réaffirmé l’importance du partenariat entre les corps enseignants et les institutions pédagogiques, insistant sur « la nécessité d’assurer au professeur une vie digne, et de permettre à l’établissement de persévérer ». Le congrès a également demandé au Conseil des ministres d’établir un équilibre entre les différentes composantes de la famille pédagogique, l’élève et sa famille, d’une part, les enseignants et les établissements, d’autre part, afin de ne pas recourir à des augmentations en faveur d’un groupe, et aux dépens de l’autre.
Enfin, le secrétariat général des écoles catholiques a demandé aux écoles de coordonner avec lui afin de réaliser le concept de l’unité dans la diversité.
À l’issue du congrès, des recommandations ont été faites. Parmi les plus importantes, celle d’appeler à préserver les écoles privées gratuites et à les soutenir en les aidant à obtenir la totalité de leurs droits.
Les participants au congrès ont également réaffirmé l’importance du partenariat entre les corps enseignants et les institutions pédagogiques, insistant sur « la nécessité d’assurer au professeur une vie digne, et de permettre à l’établissement de persévérer ». Le congrès a également demandé au Conseil des ministres d’établir un équilibre entre les différentes composantes de la famille pédagogique, l’élève et sa famille, d’une part, les enseignants et les établissements, d’autre part, afin de ne pas recourir à des augmentations en faveur d’un groupe, et aux dépens de l’autre.
Enfin, le secrétariat général des écoles catholiques a demandé aux écoles de coordonner avec lui afin de réaliser le concept de l’unité dans la diversité.
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