Dans les temps modernes comme par le passé, les chrétiens au Moyen-Orient font face aux tribulations parce qu’ils constituent une minorité vulnérable. Un tel statut ne donne pas une raison naturelle d’espérance.
Les premiers chrétiens étaient soutenus dans leurs luttes et fleurirent en fin de compte grâce à l’espérance qu’ils nourrissaient en la vision de foi que nous voyons dans l’Apocalypse et en la communion aimante fondée par saint Paul, à travers laquelle les chrétiens des nouvelles communautés assistaient les chrétiens de Jérusalem, patrie de leur foi, tout comme l’ensemble du Moyen-Orient l’est pour nous. Ces deux sources d’espérance donnant la vie devraient être explorées dans la situation actuelle.