et il a encouragé une association pour la paix en Somalie. Il a aussi encouragé le dialogue social.
Les pauvres ne peuvent pas attendre
A propos d’un immense calicot écrit en italien, le pape s’est exclamé : « Je lis, écris en grand, là : « Les pauvres ne peuvent pas attendre ». C’est beau ! Cela me fait penser que Jésus est né dans une étable, il n’est pas né dans une maison. Ensuite, il a dû fuir, aller en Egypte pour sauver sa vie. Finalement, il est revenu chez lui, à Nazareth. Et je pense, aujourd’hui, aussi en lisant cette inscription, aux nombreuses familles sans maison, soit parce qu’elles n’en ont jamais eue, soit parce qu’elles l’ont perdu pour tant de raisons. Famille et maison cela va ensemble. C’est très difficile de faire grandit une famille sans habiter une maison. En ces jours de Noël, j’invite tout le monde – personnes, organismes sociaux, autorités – à faire tout leur possible pour que chaque famille puisse avoir une maison. »
La paix en Somalie
Le pape a ensuite salué les groupes de tous les pays et d’Italie présents, notamment un groupe achevant une course de relais du Nord de l’Italie – d’Alessandria – , jusqu’à Rome, pour « témoigner de leur engagement pour la paix en Somalie ».
Enfin, le pape a salué les Italiens rassemblés pour « manifester leur engagement social » en leur recommandant d’apporter « une contribution constructive » et de rejeter « les tentations de l’affrontement et de la violence, en suivant toujours la voie du dialogue, en défendant les droits ».
Le pape a conclu en souhaitant à tous un Noël « d’espérance, de justice, et de fraternité »: on retrouve les thèmes de son message pour la Journée mondiale de la paix, le 1er janvier 2014.
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