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Les indices pensables. Episode 3

Les indices pensables. Episode 3

(Résumé…Selon saint Augustin, on peut connaître le Créateur en se penchant sur le livre de la Création.)

Mais pour apprendre à lire ce livre, il a fallu beaucoup d’étapes, de tâtonnements, d’expérimentations de toutes sortes, depuis des milliers d’années. Ce champignon est-il bon ou mauvais ? Ce rouge tacheté de blanc me fait envie, mais la confrontation au réel ne me fera pas de cadeau, ça passe ou ça casse. A l’état sauvage, les animaux, eux, se trompent rarement, car leurs programmations animales, leur instinct, les guide dans leurs choix entre le profitable et le néfaste. Les êtres humains n’ont pas hérité de l’ensemble de cette normative, ils doivent passer par cette épreuve de l’expérimentation qui comporte un fameux risque : cette plante, ce champignon si désirable peut s’avérer être un redoutable poison … Car c’est la confrontation au réel qui nous guide, relayée par la mémoire : Je te déconseille le rouge, je me souviens que grand-père a eu du mal à le digérer, en revanche telle plante est excellente pour la santé… Sans le savoir, nos ancêtres inventaient ce qu’on appellera beaucoup plus tard « les sciences expérimentales », autrement dit : ce que la nature nous enseigne par l’expérience. Progressivement, nous apprenons à lire ce livre de l’Univers.

Mais sur certains sujets, la méthode expérimentale était impossible, et ne pouvant pas connaitre la réponse, on devait se contenter d’interprétations, comme un livre dont on scrute  les images, faute de savoir lire le texte… Ainsi, il y 2 500 ans, pour (pratiquement), toutes les civilisations, le soleil était considéré comme éternel. Il était donc adoré comme un dieu par les Egyptiens, Babyloniens, Perses, Grecs, Romains… et même aux quatre coins du monde selon les historiens des religions. Ce qui étonne ces derniers, c’est la nouveauté apportée par un petit peuple qui ose déclarer devant la face de ses puissants voisins : ce soleil que vous vénérez n’est pas un dieu, ce n’est qu’un lampadaire. En affirmant cela (entre autres) les Hébreux se sont attirés beaucoup d’ennuis. En tout cas, pendant près de 2500 ans, personne ne pouvait savoir qui avait raison dans ce débat : le soleil est-il éternel ou pas ?

Sur cette question comme sur d’autres, restées sans réponse, nombre de religieux, philosophes, sages ou charlatans n’ont pas manqué de donner leur opinion en laissant des écrits dont beaucoup sont arrivés jusqu’à nous.  Dans le tiroir des interprétations philosophiques et religieuses, on peut consulter les dossiers de ces questions que l’humanité accumule depuis l’Antiquité. Comme la confrontation au réel était impossible, chacun pouvait dire tout ce qu’il voulait sur ces sujets. Jusqu’au jour où tout a changé…

De nos jours, nous commençons à enregistrer des réponses, grâce aux progrès de cette connaissance expérimentale. Nous commençons à lire ce livre de l’Univers et pour la première fois dans l’histoire de l’humanité, nous pouvons confronter au réel certaines questions comme celle du soleil qui n’a plus rien à faire dans le tiroir les opinions et des croyances, car nous savons quantités de choses à son propos… C’est une révolution dans l’histoire de la pensée qui va nous apporter non pas des preuves, mais des indices pour une enquête intelligente.

A suivre,

(Résumé…Selon saint Augustin, on peut connaître le Créateur en se penchant sur le livre de la Création.)

Mais pour apprendre à lire ce livre, il a fallu beaucoup d’étapes, de tâtonnements, d’expérimentations de toutes sortes, depuis des milliers d’années. Ce champignon est-il bon ou mauvais ? Ce rouge tacheté de blanc me fait envie, mais la confrontation au réel ne me fera pas de cadeau, ça passe ou ça casse. A l’état sauvage, les animaux, eux, se trompent rarement, car leurs programmations animales, leur instinct, les guide dans leurs choix entre le profitable et le néfaste. Les êtres humains n’ont pas hérité de l’ensemble de cette normative, ils doivent passer par cette épreuve de l’expérimentation qui comporte un fameux risque : cette plante, ce champignon si désirable peut s’avérer être un redoutable poison … Car c’est la confrontation au réel qui nous guide, relayée par la mémoire : Je te déconseille le rouge, je me souviens que grand-père a eu du mal à le digérer, en revanche telle plante est excellente pour la santé… Sans le savoir, nos ancêtres inventaient ce qu’on appellera beaucoup plus tard « les sciences expérimentales », autrement dit : ce que la nature nous enseigne par l’expérience. Progressivement, nous apprenons à lire ce livre de l’Univers.

Mais sur certains sujets, la méthode expérimentale était impossible, et ne pouvant pas connaitre la réponse, on devait se contenter d’interprétations, comme un livre dont on scrute  les images, faute de savoir lire le texte… Ainsi, il y 2 500 ans, pour (pratiquement), toutes les civilisations, le soleil était considéré comme éternel. Il était donc adoré comme un dieu par les Egyptiens, Babyloniens, Perses, Grecs, Romains… et même aux quatre coins du monde selon les historiens des religions. Ce qui étonne ces derniers, c’est la nouveauté apportée par un petit peuple qui ose déclarer devant la face de ses puissants voisins : ce soleil que vous vénérez n’est pas un dieu, ce n’est qu’un lampadaire. En affirmant cela (entre autres) les Hébreux se sont attirés beaucoup d’ennuis. En tout cas, pendant près de 2500 ans, personne ne pouvait savoir qui avait raison dans ce débat : le soleil est-il éternel ou pas ?

Sur cette question comme sur d’autres, restées sans réponse, nombre de religieux, philosophes, sages ou charlatans n’ont pas manqué de donner leur opinion en laissant des écrits dont beaucoup sont arrivés jusqu’à nous.  Dans le tiroir des interprétations philosophiques et religieuses, on peut consulter les dossiers de ces questions que l’humanité accumule depuis l’Antiquité. Comme la confrontation au réel était impossible, chacun pouvait dire tout ce qu’il voulait sur ces sujets. Jusqu’au jour où tout a changé…

De nos jours, nous commençons à enregistrer des réponses, grâce aux progrès de cette connaissance expérimentale. Nous commençons à lire ce livre de l’Univers et pour la première fois dans l’histoire de l’humanité, nous pouvons confronter au réel certaines questions comme celle du soleil qui n’a plus rien à faire dans le tiroir les opinions et des croyances, car nous savons quantités de choses à son propos… C’est une révolution dans l’histoire de la pensée qui va nous apporter non pas des preuves, mais des indices pour une enquête intelligente.

A suivre,

(Résumé…Selon saint Augustin, on peut connaître le Créateur en se penchant sur le livre de la Création.)

Mais pour apprendre à lire ce livre, il a fallu beaucoup d’étapes, de tâtonnements, d’expérimentations de toutes sortes, depuis des milliers d’années. Ce champignon est-il bon ou mauvais ? Ce rouge tacheté de blanc me fait envie, mais la confrontation au réel ne me fera pas de cadeau, ça passe ou ça casse. A l’état sauvage, les animaux, eux, se trompent rarement, car leurs programmations animales, leur instinct, les guide dans leurs choix entre le profitable et le néfaste. Les êtres humains n’ont pas hérité de l’ensemble de cette normative, ils doivent passer par cette épreuve de l’expérimentation qui comporte un fameux risque : cette plante, ce champignon si désirable peut s’avérer être un redoutable poison … Car c’est la confrontation au réel qui nous guide, relayée par la mémoire : Je te déconseille le rouge, je me souviens que grand-père a eu du mal à le digérer, en revanche telle plante est excellente pour la santé… Sans le savoir, nos ancêtres inventaient ce qu’on appellera beaucoup plus tard « les sciences expérimentales », autrement dit : ce que la nature nous enseigne par l’expérience. Progressivement, nous apprenons à lire ce livre de l’Univers.

Mais sur certains sujets, la méthode expérimentale était impossible, et ne pouvant pas connaitre la réponse, on devait se contenter d’interprétations, comme un livre dont on scrute  les images, faute de savoir lire le texte… Ainsi, il y 2 500 ans, pour (pratiquement), toutes les civilisations, le soleil était considéré comme éternel. Il était donc adoré comme un dieu par les Egyptiens, Babyloniens, Perses, Grecs, Romains… et même aux quatre coins du monde selon les historiens des religions. Ce qui étonne ces derniers, c’est la nouveauté apportée par un petit peuple qui ose déclarer devant la face de ses puissants voisins : ce soleil que vous vénérez n’est pas un dieu, ce n’est qu’un lampadaire. En affirmant cela (entre autres) les Hébreux se sont attirés beaucoup d’ennuis. En tout cas, pendant près de 2500 ans, personne ne pouvait savoir qui avait raison dans ce débat : le soleil est-il éternel ou pas ?

Sur cette question comme sur d’autres, restées sans réponse, nombre de religieux, philosophes, sages ou charlatans n’ont pas manqué de donner leur opinion en laissant des écrits dont beaucoup sont arrivés jusqu’à nous.  Dans le tiroir des interprétations philosophiques et religieuses, on peut consulter les dossiers de ces questions que l’humanité accumule depuis l’Antiquité. Comme la confrontation au réel était impossible, chacun pouvait dire tout ce qu’il voulait sur ces sujets. Jusqu’au jour où tout a changé…

De nos jours, nous commençons à enregistrer des réponses, grâce aux progrès de cette connaissance expérimentale. Nous commençons à lire ce livre de l’Univers et pour la première fois dans l’histoire de l’humanité, nous pouvons confronter au réel certaines questions comme celle du soleil qui n’a plus rien à faire dans le tiroir les opinions et des croyances, car nous savons quantités de choses à son propos… C’est une révolution dans l’histoire de la pensée qui va nous apporter non pas des preuves, mais des indices pour une enquête intelligente.

A suivre,

(Résumé…Selon saint Augustin, on peut connaître le Créateur en se penchant sur le livre de la Création.)

Mais pour apprendre à lire ce livre, il a fallu beaucoup d’étapes, de tâtonnements, d’expérimentations de toutes sortes, depuis des milliers d’années. Ce champignon est-il bon ou mauvais ? Ce rouge tacheté de blanc me fait envie, mais la confrontation au réel ne me fera pas de cadeau, ça passe ou ça casse. A l’état sauvage, les animaux, eux, se trompent rarement, car leurs programmations animales, leur instinct, les guide dans leurs choix entre le profitable et le néfaste. Les êtres humains n’ont pas hérité de l’ensemble de cette normative, ils doivent passer par cette épreuve de l’expérimentation qui comporte un fameux risque : cette plante, ce champignon si désirable peut s’avérer être un redoutable poison … Car c’est la confrontation au réel qui nous guide, relayée par la mémoire : Je te déconseille le rouge, je me souviens que grand-père a eu du mal à le digérer, en revanche telle plante est excellente pour la santé… Sans le savoir, nos ancêtres inventaient ce qu’on appellera beaucoup plus tard « les sciences expérimentales », autrement dit : ce que la nature nous enseigne par l’expérience. Progressivement, nous apprenons à lire ce livre de l’Univers.

Mais sur certains sujets, la méthode expérimentale était impossible, et ne pouvant pas connaitre la réponse, on devait se contenter d’interprétations, comme un livre dont on scrute  les images, faute de savoir lire le texte… Ainsi, il y 2 500 ans, pour (pratiquement), toutes les civilisations, le soleil était considéré comme éternel. Il était donc adoré comme un dieu par les Egyptiens, Babyloniens, Perses, Grecs, Romains… et même aux quatre coins du monde selon les historiens des religions. Ce qui étonne ces derniers, c’est la nouveauté apportée par un petit peuple qui ose déclarer devant la face de ses puissants voisins : ce soleil que vous vénérez n’est pas un dieu, ce n’est qu’un lampadaire. En affirmant cela (entre autres) les Hébreux se sont attirés beaucoup d’ennuis. En tout cas, pendant près de 2500 ans, personne ne pouvait savoir qui avait raison dans ce débat : le soleil est-il éternel ou pas ?

Sur cette question comme sur d’autres, restées sans réponse, nombre de religieux, philosophes, sages ou charlatans n’ont pas manqué de donner leur opinion en laissant des écrits dont beaucoup sont arrivés jusqu’à nous.  Dans le tiroir des interprétations philosophiques et religieuses, on peut consulter les dossiers de ces questions que l’humanité accumule depuis l’Antiquité. Comme la confrontation au réel était impossible, chacun pouvait dire tout ce qu’il voulait sur ces sujets. Jusqu’au jour où tout a changé…

De nos jours, nous commençons à enregistrer des réponses, grâce aux progrès de cette connaissance expérimentale. Nous commençons à lire ce livre de l’Univers et pour la première fois dans l’histoire de l’humanité, nous pouvons confronter au réel certaines questions comme celle du soleil qui n’a plus rien à faire dans le tiroir les opinions et des croyances, car nous savons quantités de choses à son propos… C’est une révolution dans l’histoire de la pensée qui va nous apporter non pas des preuves, mais des indices pour une enquête intelligente.

A suivre,

(Résumé…Selon saint Augustin, on peut connaître le Créateur en se penchant sur le livre de la Création.)

Mais pour apprendre à lire ce livre, il a fallu beaucoup d’étapes, de tâtonnements, d’expérimentations de toutes sortes, depuis des milliers d’années. Ce champignon est-il bon ou mauvais ? Ce rouge tacheté de blanc me fait envie, mais la confrontation au réel ne me fera pas de cadeau, ça passe ou ça casse. A l’état sauvage, les animaux, eux, se trompent rarement, car leurs programmations animales, leur instinct, les guide dans leurs choix entre le profitable et le néfaste. Les êtres humains n’ont pas hérité de l’ensemble de cette normative, ils doivent passer par cette épreuve de l’expérimentation qui comporte un fameux risque : cette plante, ce champignon si désirable peut s’avérer être un redoutable poison … Car c’est la confrontation au réel qui nous guide, relayée par la mémoire : Je te déconseille le rouge, je me souviens que grand-père a eu du mal à le digérer, en revanche telle plante est excellente pour la santé… Sans le savoir, nos ancêtres inventaient ce qu’on appellera beaucoup plus tard « les sciences expérimentales », autrement dit : ce que la nature nous enseigne par l’expérience. Progressivement, nous apprenons à lire ce livre de l’Univers.

Mais sur certains sujets, la méthode expérimentale était impossible, et ne pouvant pas connaitre la réponse, on devait se contenter d’interprétations, comme un livre dont on scrute  les images, faute de savoir lire le texte… Ainsi, il y 2 500 ans, pour (pratiquement), toutes les civilisations, le soleil était considéré comme éternel. Il était donc adoré comme un dieu par les Egyptiens, Babyloniens, Perses, Grecs, Romains… et même aux quatre coins du monde selon les historiens des religions. Ce qui étonne ces derniers, c’est la nouveauté apportée par un petit peuple qui ose déclarer devant la face de ses puissants voisins : ce soleil que vous vénérez n’est pas un dieu, ce n’est qu’un lampadaire. En affirmant cela (entre autres) les Hébreux se sont attirés beaucoup d’ennuis. En tout cas, pendant près de 2500 ans, personne ne pouvait savoir qui avait raison dans ce débat : le soleil est-il éternel ou pas ?

Sur cette question comme sur d’autres, restées sans réponse, nombre de religieux, philosophes, sages ou charlatans n’ont pas manqué de donner leur opinion en laissant des écrits dont beaucoup sont arrivés jusqu’à nous.  Dans le tiroir des interprétations philosophiques et religieuses, on peut consulter les dossiers de ces questions que l’humanité accumule depuis l’Antiquité. Comme la confrontation au réel était impossible, chacun pouvait dire tout ce qu’il voulait sur ces sujets. Jusqu’au jour où tout a changé…

De nos jours, nous commençons à enregistrer des réponses, grâce aux progrès de cette connaissance expérimentale. Nous commençons à lire ce livre de l’Univers et pour la première fois dans l’histoire de l’humanité, nous pouvons confronter au réel certaines questions comme celle du soleil qui n’a plus rien à faire dans le tiroir les opinions et des croyances, car nous savons quantités de choses à son propos… C’est une révolution dans l’histoire de la pensée qui va nous apporter non pas des preuves, mais des indices pour une enquête intelligente.

A suivre,
zenit

عن الاتحاد الكاثوليكي العالمي للصحافة - لبنان

عضو في الإتحاد الكاثوليكي العالمي للصحافة UCIP الذي تأسس عام 1927 بهدف جمع كلمة الاعلاميين لخدمة السلام والحقيقة . يضم الإتحاد الكاثوليكي العالمي للصحافة - لبنان UCIP – LIBAN مجموعة من الإعلاميين الناشطين في مختلف الوسائل الإعلامية ومن الباحثين والأساتذة . تأسس عام 1997 بمبادرة من اللجنة الأسقفية لوسائل الإعلام استمرارا للمشاركة في التغطية الإعلامية لزيارة السعيد الذكر البابا القديس يوحنا بولس الثاني الى لبنان في أيار مايو من العام نفسه. "أوسيب لبنان" يعمل رسميا تحت اشراف مجلس البطاركة والأساقفة الكاثوليك في لبنان بموجب وثيقة تحمل الرقم 606 على 2000. وبموجب علم وخبر من الدولة اللبنانية رقم 122/ أد، تاريخ 12/4/2006. شعاره :" تعرفون الحق والحق يحرركم " (يوحنا 8:38 ).